Le vent tourne lorsque Larue trouve le poteau, et que Monczuk voit son tir sorti par Hiard. Côté rouennais, c’est l’Argentin Daniel Alberto qui doit prendre ses responsabilités, mais celui-ci voit son tir repoussé par Hiard. Le stade Pierre-Mauroy est accessible en métro par les stations Cité Scientifique et 4 Cantons sur la ligne 1. De plus, une navette relie le stade à la station Les Prés – Edgard Pisani située sur la ligne 2 les jours d’évènements. Une nouvelle fois, c’est un entraîneur n’ayant jamais évolué comme joueur au Stade rennais qui en devient le principal technicien. Fondé en 1995, c’est le groupe le plus actif des supporters rémois de par leurs nombres (à l’extérieur comme à domicile) mais aussi par l’animation créée (chants, Tifo, Fumigène). En février 2016, lors d’une interview avec le journaliste français Pierre Ménès, il revient sur la dépression qu’il a vécue à la suite de la Coupe du monde 2014 et dit son incompréhension de ne plus être sélectionné par Dunga. Mais rapidement, les résultats se révèlent particulièrement médiocre, et le club s’enfonce vers une zone de relégation qu’il atteint début novembre pour ne plus la quitter par la suite. À la faveur de deux victoires, elle remonte temporairement à la quinzième place, mais cette éclaircie ne dure pas, témoin le sévère 0 – 6 infligé par le FC Metz fin septembre. Henri Michel prend sa retraite cet été là et Gilles Rampillon rejoint l’AS Cannes : les deux leaders de l’équipe, les deux relais préférés de Jean Vincent sur le terrain aussi quittent donc Nantes. Jean Vincent tire sa révérence au poste d’entraîneur et est remplacé par Pierre Mosca. L’année rennaise est marquée par l’émergence d’un jeune joueur nommé Jocelyn Angloma. ↑ a et b Jocelyn Angloma signe en novembre une licence amateur à la suite d’un essai.
Angloma réalise un essai convaincant en novembre 1985 qui conduit le club a lui proposer un contrat amateur. La saison 1985-1986 du Stade rennais football club débute le 16 juillet 1985 avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le 25 avril 1986 avec la dernière journée de cette même compétition. ↑ a et b Le terrain du SEC Bastia est suspendu, à la suite d’incidents survenus le 9 avril 1985 face au FC Sochaux-Montbéliard lors d’un huitième de finale de Coupe de France. ↑ « Angloma, la longévité », 100 ans en Rouge et Noir, Hors-série Ouest-France, 2001, p. Source : « Angloma, la longévité », 100 ans en Rouge et Noir, Hors-série Ouest-France, 2001, p. En 2007, il prolonge son contrat de trois ans. ↑ Tripy Makonda à Brest pour 4 ans ! ↑ Ce projet de partenariat avec le Crédit mutuel Arkéa est ensuite abandonné, après avoir engendré des protestations parmi les supporters, mais également dans la classe politique rennaise. Il rejoint le Véloce vannetais en 1984. En parallèle, il travaille au Crédit agricole et se voit faire une carrière dans cette fonction. Alain Fradin (1970), directeur général du Crédit industriel et commercial (CIC). Alain Doaré, vingtième tireur de la séance, réussit enfin à tromper Bensoussan, donnant victoire et montée en D1 au Stade rennais FC. Pour sa deuxième saison consécutive en D1, le Stade rennais connaît quelques changements d’ordre structurel. La journée du 27 juin amène des changements importants. Au-delà de la rénovation du stade, les changements structurels touchent également la direction du club. Du coup, le club se montre assez actif sur le marché des transferts, et le recrutement semble à première vue judicieux. Trop irrégulier, le Stade rennais ne réussit pas à accrocher la première place du classement.
1/4 de finale retour Stade rennais FC 2 – 1 a.p. Barrage D1-D2 retour FC Rouen 0 – 1 a.p. Le Havre et Mulhouse viennent ainsi s’imposer route de Lorient, alors que Rouen lamine les derniers espoirs bretons à Robert-Diochon (0 – 4). Le SRFC en sera quitte pour une sixième saison consécutive en D2, sans un Pierre Garcia, qui n’aura jamais réussi à obtenir la remontée en trois ans à la tête de l’équipe première. Gilles Gallou croisé la saison précédente avec le FC Rouen. Peu de temps après avoir obtenu sa propre personnalité juridique, lors de la saison 1908-1909, l’Athletic Madrid terminera pour la première fois vice-champion d’un titre officiel, le Championnat régional de Madrid, joué dans un format de ligue qui sera remporté par le Club Español de Madrid. L’équipe termine finalement sa saison par une ultime victoire à Valence (15-24) pour finir avec 68 points au classement final, soit 8 de plus que son second, l’US bressane. À la lutte pour la montée, ses principaux concurrents sont le FC Rouen, l’US Nœux-les-Mines, le FC Mulhouse, le Stade de Reims et Le Havre AC. Le début de saison est correct et, même si le SRFC semble partir pour se battre toute la saison pour son maintien, les quelques victoires obtenues devant le RC Paris, Toulon et Sochaux (trois concurrents directs dans la course contre la relégation) peuvent laisser augurer une issue favorable. Comme un clin d’œil à sa dernière victoire dans l’épreuve, le Stade rennais retrouve l’Olympique de Marseille sur sa route en demi-finale. Il ne revient qu’en octobre pour deux matchs de séries éliminatoires lors desquelles le club est éliminé en demi-finale de conférence. Un mois de mars catastrophique permet au Havre et à Mulhouse de s’échapper au classement et de s’assurer les deux premières places, avant qu’une série de cinq victoires rennaises n’assure définitivement la troisième place aux « Rouge et Noir », et ce dès l’avant-dernière journée.
Pourtant, le match disputé à Geoffroy-Guichard est parfaitement maîtrisé par les « Rouge et Noir », qui s’imposent deux buts à zéro. Défaits à l’aller (1 – 2), les « Rouge et Noir » s’en sortent au retour au bénéfice du nombre de buts marqués à l’extérieur (1 – 0). En huitièmes de finale, de grandes retrouvailles ont lieu avec le FC Rouen, désormais en D2, et qui, comme la saison précédente, doit plier face aux Bretons (1 – 1 à Robert-Diochon, 2 – 0 route de Lorient). Se trouve aussi sur sa route le club israélien de Hapoël Ironi Kiryat Shmona, champion d’Israël en titre, que l’OL bat 4-3 à l’extérieur puis 2-0 à domicile lors de la dernière journée (avec l’équipe bis). La saison est finalement arrêtée et l’OL sacré pour la quatorzième fois d’affilée. 1/2 Bayern Munich 0-3 X Comme en 2010, l’OL échoue à se qualifier pour la première finale de Ligue des champions de son histoire, en s’inclinant à nouveau contre le Bayern Munich. 3 – 3 à l’issue de la première série. 1 – 0 à l’issue du temps réglementaire, puis de la prolongation, c’est la terrible épreuve des tirs au but qui départage les deux formations. Le recrutement s’appuie lui sur l’arrivée de deux anciennes gloires nantaises, à savoir le défenseur international Patrice Rio, en fin de carrière à 36 ans, et le milieu de terrain Oscar Muller. En début de saison, l’entraîneur Pierre Mosca ambitionne une place finale au milieu de tableau.
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